Cales Coves, le dernier bastion hippie de Minorque!
Cales Coves est une baie avec quelques petites criques et dans les falaises de laquelle on peut trouver une série de grottes artificielles excavées et connues comme la Nécropole de Cales Coves. Ces grottes sont de nature funéraire et constituent la plus grande nécropole de Minorque.
Cette petite baie du sud de Minorque, connue dans les années 70 pour sa colonie de hippies qui occupaient ses célèbres grottes, est aujourd'hui un endroit idéal pour ancrer des bateaux et y passer la nuit en bateau, car elle est très protégée des tempêtes et est classée ANEI, ce qui en fait un endroit très spécial.
C'est un endroit peu fréquenté et bien que les deux criques ne soient pas très confortables, tant en termes d'accès que d'espace disponible, son sable est rose et c'est un endroit idéal pour la plongée avec tuba grâce à ses fonds rocheux sur les côtés de la baie. Un endroit parfait pour se déconnecter de l'agitation du monde.
Comme il s'agit de criques vierges, il n'y a pas de services disponibles et il est conseillé de porter des chaussures adaptées pour marcher sur les rochers. Aussi, si vous décidez de visiter ce petit paradis, vous devez prévoir de l'eau, de la nourriture et une protection solaire (surtout de l'ombre).Depuis la crique suivante, Cala'n Porter, où se trouve la célèbre Cova d'En Xoroi, nous pouvons louer des kayaks et visiter cet endroit magnifique et certaines de ses grottes (certaines d'entre elles sont murées en raison de la destruction causée par les humains - bien sûr!)
Si vous venez à Ca s'Arader, ce sera un plaisir pour nous de vous recommander ce bel endroit et de profiter de ses charmes ! Contactez-nous à l'adresse www.casarader.com ou au +34 670 222 115, soit par téléphone, soit par Whattsapp ou Telegram! Nous vous attendons!
Ca s'Arader doit son nom aux artisans menuisiers de Minorque, qui utilisaient le bois d'olivier sauvage indigène pour fabriquer toutes sortes d'outils pour la campagne. Dans le passé, ce commerce était essentiel à l'économie de l'île et se transmettait de père en fils. Aujourd'hui, les quelques laboureurs restants se consacrent à la fabrication de barrières, de tables, de bancs ou de tabourets, entre autres éléments.